faire apparaitre des billet de banque de nul part, neuf et valide.

 

Les torturés peuvent devenir les tortionnaires mais l'inverse ne se produit pas. Un prix est à payer pour chacun de tes choix et l'irréversible est un concept concret chez l'esprit de nombreux des hommes à avoir passer un séjour dans cette prison. La morale est mise à l'épreuve là où la morale semble être à oublier. De cette façon se fut le plus grand massacre psychologique au fin fond la prison russe Ourskabravodkaéarbre. La mort devenait l'objectif de leur existence. Si la mort n'était pas au rendez-vous, alors c'était la folie.

Seul un homme au coeur froid et au visage terne, mit fin à cette barbarie qui se transformait en norme. La torture l'entourait bien avant son arrivé dans la prison. La torture, il l'a voyait où les autres n'imaginait même pas l'existence. Il vient d'une banlieue pauvre sans l'espoir d'un avenir meilleur. Dans cette banlieue les jeunes étaient comme ça. C'est à dire condamné à passer une crise d'adolescence représentant de l'irrespect. Ce n'est qu'un point parmi d'autre que l'on pouvait repéré chez cet homme qui voyait en ça, la torture car à part les coups physiques que l'ont peut recevoir, le moral se remet plus ou moins bien et cette blessure n'est parfois pas reconnu en tant que tel. C'est bien de ce genre de torture qu'il avait peur avant tout. Les étranglements, les humiliations et autres lui suffisait. "Je ne crains plus aucun mal, je suis devenu aveugle de tout cela. Seul mon esprit et mes armes me réconfortent La solitude m'accompagnera jusqu'à mes derniers jours Mon avenir me semble flou mais on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve. Dans le doute je peux bien rester encore quelques jours"

A terre, ensanglanté et le regard vide fixant le ciel.Son dernier jour tant attendu semblait être arrivé. Ses regrets d'une vie inachevé lui faisait presque oublié .... provoquant une forte hémorragie externe. Il se demandait même si ca ne serait pas plus judicieux d'aggraver intentionnellement sa blessure pour s'écouler de son sang plus rapidement. - C'est tellement pathétique, je n'arrive même plus à me reconstituer le visage de mes proches avant de mourir. La solitude m'a détruit. Il commençait à prendre .... en main pour se l'enlever et laisser ainsi couler son sang librement lorsqu'une voix l'interpella.

- Papa ?!!