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POMMADIN - [Zanmato]


Origine de Pommadin:
Pommadin naquit le Brasis premier Mortis de l'an 1214 à Khuzdhul. Son vrai nom est Rokdur. Il est issu d'une famille modeste de nain. Sa mère travaillait dans une taverne. Certains disent que cela lui fit sans nulle doute aimer le houblon par dessus tout. Le fait qu'il soit un nain n'a rien arrangé. La seule chose sûre est qu'il serait prêt à se battre pour une chope de cette si précieuse substance. Son père, quant à lui, travaillait dans la mine durant de nombreuses années, jusqu'à récemment. Il est le fils unique d'un foyer atypique et sa culture est très stéréotypée:
  • Grand amateur de combat, il se bat et se disput fréquemment mais jamais méchamment, à l'exception des elfes.
  • Il ne boit que de la bière et à l'occasion quelques alcools forts
  • Le temps passé à la taverne est démesuré.
  • Il a commencé à creuser très jeune.
  • Il ne peut monter à cheval ce qui implique des temps de voyage plus long ainsi que l'utilisation un peu plus fréquentes de charette ce qui est également plus pratique pour transporter son or, ses armes et armures, ainsi que d'autres marchandises la plupart volées. L'unique particularité de ce nain est qu'il a décidé de devenir un paladin afin de parcourir le royaume et accomplir moultes quêtes, chose plutôt ironique pour un voleur; sans doute par envie de se repentir et par recherche d'une lueure de gloire et de richesse. Pommadin est surnommé ainsi par ses quelques et rares amis à la taverne car il est haut comme trois pommes et espère devenir paladin dans un futur proche. Désormais, dans le language familier, être un pommadin signifie aimer la boisson.
    Cahier de bord:
    Brasis premier Mortis, Je décide de quitter la caserne de Sarosa, afin de parcourir moult quêtes... Une fois en forêt, de nombreuses créatures rondes et bleues m'attaquent. Contraint de me défendre, j'en tue quelques uns et par maladresse quelques lapins. Suite à ces combats, je dois panser mes blessures et retourne donc au village pour me soigner. Heureusement les blessures sont légères et je peux repartir à l'aventure. A la demande d'un paysan, je chasse les quelques bêtes sauvages aux alentours. Pour ces services, je reçois quelques pièces d'or et herbes de soin. Après négociations, le forgeron accepte de me vendre un lot d'armes à un bon prix. Je repart à l'aventure avec ces quelques équipements et m'enfonce plus profondément dans la forêt. C'est alors que je me sens plus puissant et capable d'affronter des ennemis plus nombreux ou plus fort. J'ai encore des frissons dans le dos en me rappelant la rencontre avec trois loups. Peu entraîné mais petit par la taille, je réussi à en réchapper de justesse grâce aux arbres présents. Pour être précis, après avoir entendu quelques reniflements, je me suis caché dans un tronc creux et je vis passer ces quelques loups. Je ressors alors avec un couteau chapardé à Sarosa, les lames du forgeron étant alors bien trop lourdes pour moi. Avec un léger effet de surprise je les attaque de dos un par un, ceci étant trop gros pour arriver à m'attaquer entre les arbres à plusieurs simultanément. Le ciel étant couvert et la forêt un peu plus dense, je ne peux plus suivre l'orientation. Pour ne pas errer inutilement, je me réfère aux mousses poussant sur les arbres pour maintenir avec certitudes ma direction. Après avoir du affronté quelques vils brigands ayant eu la mauvaise idée de m'attaquer, j'arrive au palais péniblement. Celui-ci m'accueille chaleureusement et, de coutume, m'offre l'hospitalité. Lors du dîner, je lui fais part de mon ambition de devenir paladin et la soirée s'achève tôt pour moi, après cette journée forte en émotion. Brasis deux Mortis, Au lever du soleil, Roland IV me reçoit et me confie alors une tâche bénigne. Je me vois confier la tache de collecter des informations à Coacville. Il est encore tôt et sauf problèmes, je décide de partir immédiatement, espérant ainsi parvenir à destination avant la tombée de la nuit bien que le coucher de soleil soit tôt en ce mois de l'Ombre. Je fais demi-tour repassant dans la forêt. Je ne croise que très peu d'animaux sauvages...peut être qu'il y en a moins du fait de mon passage ou peut être que je les effraye désormais. Il me plait de croire à cette deuxième supposition. Je me sens mieux préparé au combat, sans doute grâce à l'expérience acquise hier. Me voici désormais dans un marais... pour le moins peu accueillant. Heureusement j'y ai encore pied et je peux poursuivre l'exploration en marchant. La marche est longue et me permet de réfléchir. Même si les croassements sont bruyants, que la lumière y est faible et la civilisation inexistante, je suis tout de même de heureux de fouler ce marais. Je suis sans doute l'un des premiers de mon peuple à explorer aussi loin sans passer par des mines. Quel gain de temps! Mais pourquoi donc mon peuple ne fait-il pas cela ? Brusquement des abeilles m'attaquent. Ah oui! il est vrai qu'il est dangereux pour un petit être de voyager seul. J'affronte du mieux que je peux, mon couteau étant court. Pour les repousser, j'utilise un bâton mais je n'arrive pas à les achever. Il faudrait que je trouve une pierre tranchante afin de créer une lance. Le soleil commence à se coucher et d’étranges lueurs bleues commencent à prendre le relais du soleil. C'est étrange mais la prudence, et aussi la crainte, veut que je continue mon chemin afin d'arriver à Coacville ou je serais sans doute en sécurité. Enfin arrivé, le village est aussi inconfortable que le marais à ma grande déception. Le village semble très peu développé technologiquement et l'on ne distingue le village du marais que par la simple présence de masures. Je passe une courte nuit à l'auberge, enfin cela doit être une équivalence. Je ne comprend pas la culture de ce peuple: l'auberge n'est pas étudiée afin de recevoir d'autres peuples alors que seuls ces autres peuples en aurait besoin puisque tous les coaciens y ont leur demeures. Cette journée pauvre en combat ne m'a pas fait gagner d'expérience. Suite et mise en forme à venir...