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FEIVEL - [Qintara]

Fiche de révision sur le chapitre 1 : L’évolution des échanges internationaux depuis la révolution industrielle Introduction : Globalement, depuis 1950, les flux commerciaux ont augmenté plus rapidement que le PIB mondial. Les traditionnelles « routes » du commerce (de la soie, l’or, le sel) ont été supplantées par le commerce maritime. Domination des 7 plus grands secteurs de l’économie : chimie, automobile pour les plus importants puis agroalimentaire, pharmacie, engrais, composants électriques et informatique. Le commerce intra-zones se développe fortement : les accords multilatéraux et bilatéraux se multiplient (voir chapitre 3). Processus de mondialisation, ou ouverture des économies depuis le XIXe siècle. Le CI semble aujourd’hui fondamentale, car : - Les économies sont devenues mondiales et un système d’interdépendance –commerciale, financière, monétaire– s’est développée, mais aussi de solidarité : « Village planétaire » McLuhan, car espace-temps contracté (Internet : F. Bourguignon donne le terme de « cybermonde »), homogénéisation du niveau de vie, F. Bourguignon : la pauvreté se serait réduite de moitié depuis 30 ans. - L’analyse du CI a formé la pensée économique. Hume, en 1758, publie le premier traité d’économie. Le CI est un sujet incontournable pour les « grands » économistes. En histoire, F. Braudel montre que le CI a pour conséquence la constitution de zones d’influence, avec son concept d’« économie monde » : les points d’influences rayonnent sur leur périphérie. Qu’est-ce que le CI ? - Sens strict : opérations d’achat et de vente de marchandises, physiquement identifiables, entre des espaces économiques nationaux, mesurées par la balance commerciale (X-M). Rappel : la production de richesse : Y=C+FBCF+Var(S)+(X-M), et l’équilibre emploi-ressource : Y+M=C+FBCF+Var(S)+X. Le CI es partie prenante de la richesse d’un pays. - Sens large : on inclut les transactions internationales qui portent sur les services et la finance. La mondialisation est indépendante de la puissance et du rôle des États, elle va tendre à suivre sa propre logique, quitte à suivre les stratégies des « firmes globales » (D.Andrefg) à stratégies internationales. Le CI ne peut plus être appréhendé par les M/X, mais maintenant en intégrant les stratégies de la décompositoin pays peuvent abbandoner libéralisme pour revenir au mercantiliste. I/ La mondialisation au XIXe siècle 1.1 La mondialisation des échanges de marchandises De 1815 (guerres napoléoniennes) à la guerre de 14-18, P. Bairoch : l’Europe connait une croissance de 2% de sa production agricole, 3% de sa production industrielle, 4% de ses X. Part de la production industrielle dans le PIB <2% en 1815 et de 14% en 1913, commerce X25 et représente près de 40 milliards. Europe = usine du monde. Mais il a fallut que les mentalités changes. A l’époque, pays leader de cette volonté : RU et la « croisade libre échangiste » qui aboutira en 1846 avec le 1er ministre de l’époque R. Peel qui fait abroger les Corn laws, qui protégeait les propriétaires. GB dominante \lpre61664; intérêt à ouvrir ses frontières, 1815 elle représente : 21% de la production mondiale industrielle, et 25% des échanges mondiaux. Les autres pays ont plus intérêt à appliquer le protectionnisme éducateur de F. Liest (protéger les industries naissantes pour ensuite s’ouvrir et dominer), et d’Hamilton aux USA (même idée). 1860 : traité de LÉ (libre échange) franco-anglais : Cobden-Chevalier, bénéfique à la France (taux de couverture moyen de 1860 à 1880 = 147%). Mais crise de 1873 (due en partie à la transition entre argent-métal et étalon-or aux Usa), LÉ montré du doigt (pas faux : prix du blé /2 car Usa et Australie produisent mieux). En Allemagne en 1879 : Bismarck protège la Prusse (grandes exploitations agricoles) et les industries allemandes, il relève les tarifs douaniers. En France, les tarifs douaniers sont relevés dès 1881 et en 1892 : tarifs Jules Méline (protéger agriculture et petites industries (aussi objectif politique pour des campagnes plus républicaines). 1892 : Russie applique les tarifs Mendeleïev (hausse). Aux Usa : victoire des nordistes dans la guerre de Sécession (1865) \lpre61664; fermeture partielle du pays. 1890 : Le président McKinley augmente les tarifs douaniers de 50%, 1897 : 57% avec les tarifs de Dingley et 1912 : 30% avec Umdewood. La GB reste libre échangiste. Dans le même temps : révolution des transports \lpre61664; chute du prix qui réduit les espaces, permet de rapprocher les éco, mise en concurrence de régions qui ne pouvaient pas l’être auparavant \lpre61664; nouvelle DIT. Voir slide « évolution de la longueur du réseau des chemins de fer ». Première ligne de train : GB : 1825, F : 1832. Le réseau ferroviaire unifie le E et effets d’entraînement sur l’industrie (bois, acier…). En France : création en 1747 de l’école nationale des ponts et chaussées par Trudaine. Controverse aux Usa : la cliométrie (application à l’histoire des méthodes de la pensée économique), ou New economic history, a montré que le développement du réseau ferroviaire n’est pas corrélé au développement des Usa, car les échanges se faisaient entre le Nord et le Sud grâce aux canaux. P. Bairoch : réduction des coûts du transport : coûts ferroviaire /10 et maritime /7. L’information circule mieux : télégraphe (1845). 1890 : apparition du terme de télécommunication. Info + transport \lpre61664; mise en place d’un E mondial \lpre61664; homogénéisation des prix : 1870-1914 : écart du prix du blé entre Chicago et Liverpool est passé de 58 à 16%. L’Europe domine les échanges (réalise 2/3 des échanges internationaux et 40 du commerce mondial), pour 2 raisons : 1) M de MP (80% des M début XXe) et X de produits manufacturés (60% des X début XXe). 2) suprématie financière et monétaire grâce à la livre sterling : monnaie du CI jusqu’en 1914 (première monnaie rattachée à l’or en 1816). Samir Amin (tiers-mondiste) explique cette situation (plus particulièrement celle de la GB) par une relation avec des termes d’échanges défavorables pour le reste du monde (« tiers-monde » A. Sauvy, 1952), théorie critiquée par P. Bairoch qui explique que les prix des MP < prix des produits manufacturés n’est que l’illusion créée par la baisse des coûts du transport. N. Angell, The great illusion (1910) : optimisme et paix pendant croissance. Mais en réalité, la F et la GB on peur de l’All, un late commerce préoccupant. 1.2 La mondialisation des flux financiers 2e facteur de la mondialisation, > en valeur aux flux commerciaux : stocks de k (portefeuille, IDE) passent de 1 milliard en 1820 à 48 milliards en 1930, dont 90% de l’Europe (GB : 50%). Portefeuilles > IDE, et permettent d’investir dans les « pays neufs » de Madison (Australie, Brésil, N-Z, Argentine, Usa). Pourquoi l’Europe invstie à l’étranger ? 5 raisons : - Rentabilité du k en baisse en Europe \lpre61664; investissements à l’étranger à fort rentabilité. 1870-1913 : GB : PNB 1 milliard \lpre61664;2.4 milliards, France : 20 \lpre61664; 40 milliards, Allemagne 20 \lpre61664; 47 milliards. \lpre61672; PNB X2. - Le capitalisme évolue. Lénine nous dit qu’il est d’abord industriel, puis financier, il nécessite donc une forte rentabilité du k, il devient impérialisme. - Convergence des MP vers les métropoles - Enrichissement relatif de l’étranger \lpre61664; assure une D pour ses produits manufacturés (60% de l’investissement anglais concerne les transports pour rapprocher les MP des ports. - Créer une dépendance et des zones d’influence. Ex des emprunts russes en 1888 avec le Tsar Alexandre II ; l’Allemagne et l’empire Ottoman. Des banques se spécialisent dans l’investissement de portefeuilles à l’étranger (BNP en France, 4D en Allemagne). Première FMN : Singer machines à coudre, 3 à 6% de la P mondiale. GB investie beaucoup aux Usa, France beaucoup en Europe, Allemagne autant dans les 2. 1.3 Des flux migratoires fondamentaux De 1850 à 1914, 50 millions d’européens émigrent -car manque de nourriture et pauvreté- vers les colonies, mais 2/3 vers les Usa, le nouveau monde. Peu de Français car peu de pression démographique, en 1ère en 1800 : 30m d’hab. Attirance pour les Usa : Homestead Act (1862) : don de 65 hectares à tout immigrant naturalisé et devant travailler la terre 5 ans. En manque de main d’œuvre, le pays paye même le trajet jusqu’à Elis Island. Viendront aussi beaucoup de Japonais et de Chinois. 1900 : plus d’1 million d’entrées sur le sol américain. Mais depuis 1885 se substitue aux Wasp (White Anglo-Saxon and Protestant), Polonais et Italiens (catholiques), Ukrainiens, représentant 2/3 des arrivants en 1900. Très vite, restrictions : 1882 : interdiction de sol les Chinois, et 1907 pour les Japonais, + volonté de contrôler les arrivages d’européens. Population américaine : 17 millions en 1840, 98 millions en 1913, le tiers due à l’immigration. 2nd région d’accueil : - Amérique latine : Espagnols, Portugais, Italiens, Allemands. - Canada : pour s’installer ou en tant qu’intermédiaire avec les Usa (M. Friedman). 1.4 Un partage du monde entre les pays européens essentiellement II/ Une mondialisation touchée par la première guerre mondiale et les prémisses de la crise La guerre a nécessité une intervention des États dans l’économie. Constat : il est très difficile de revenir ensuite à moins d’intervention (Prélèvements Obligatoires se maintiennent au même niveau que pendant la guerre). 2.1 Les désordres monétaires et financiers Après la guerre, retour du chacun pour soi \lpre61664; moins d’investissement à l’étranger. Seule la GB investie encore dans son empire. Mais les Usa sont devenus le premier exportateur de k : ils vont réaliser 1/ des investissements en Europe, mais ces flux sont frileux et sensibles à toute variation de la situation. \lpre61664; L’effondrement du mark : lors de la guerre, le budget de l’État passe de 3.8 à 34 milliards de marks et la dette publique (somme de la dette de l’administration, des collectivités locales et de la sécurité sociale) passe de 5 à 150 milliards de marks \lpre61664; taux de change du mark altéré : 4 marks pour 1$, puis 8 pour 1, prix multipliés par 3. De plus : 1) réparations imposées par le traité de Versailles : la France réclame 135 milliards de marks alors qu’il n’y a que 1 milliard dans les caisses \lpre61664; avoirs saisis \lpre61664; riches allemands X leur k. 2) Amputations territoriales, confiscation de la flotte, des brevets et des colonies \lpre61664; pas de ressource pour rembourser \lpre61664; oratoire mais France refuse et envahie la Ruhr \lpre61664; panique. Taux de change dégringole, et inflation : base 1 en 1913, 750 milliards le 25 octobre 1923. Oratoire accepté ensuite, retour des k américains mais toujours évanescents.  \lpre61664; Les difficultés du franc : franc détérioré et en 1924 les Usa ne soutiennent plus ni lui ni la livre sterling. Poincaré y voit la volonté conjuguée des Usa et de la GB d’affaiblir la France, 1 livre = 100 francs. Puis, toujours en 1924, arrivée du cartel des gauches au pouvoir \lpre61664; dépréciation redoublée. Poincaré revient au pouvoir \lpre61664; rigueur et assainissement de l’économie \lpre61664; immédiate baisse du taux de change et retour à un meilleur équilibre : stabilisation à 125 francs pour 1 lire sterling. 1928 : parité du franc en or \lpre61664; la F devient un aspirateur à k américains et anglais, ce qui ne favorise pas la situation de la GB. \lpre61664; Les difficultés de la livre sterling : en 1919, politique de redressement de la LS (livre sterling) : taux d’escompte (refinancement des banques commerciales auprès de la banque centrale, + ou - = au tx d’intérêt) à 7% pour attirer les k. La LS remonte à 4 LS pour 1$. Pb : rigueur monétaire alors que la GB doit gérer une reconversion d’une société industrielle en société de consommation. Keynes dénonce cette politique avec Les Conséquences économiques de M. Churchill (1925) : le redressement de la LS s’est fait au prix de la croissance et de l’emploi. Maintenir une LS élevée \lpre61664; Baisser les coûts pour être compétitif \lpre61664; appauvrissement des travailleurs anglais. De plus la F augmente ses tx d’intérêt \lpre61664; encore plus de fuite de k de la GB à la F. 2.2 Les fragilités du commerce mondial \lpre61664; Une nouvelle hiérarchie commerciale : Usa > Europe. Europe = 81% des X de produits manufacturés en 1913, 65% en 1929, contre 20% pour les Usa, car beaucoup d’innovation techniques, transports et dans l’org : tayloro-fordisme. Certains secteurs européens résistent : F = automobile (Renault, Citroën), Italie : textile, Allemagne : biens d’équipement (évaluation de sa monnaie \lpre61664; + compétitive). La GB s’en sort mal. De plus, nouveaux besoins en pétrole \lpre61664; détérioration de la balance extérieure. \lpre61664; Vers le protectionnisme : 1921 : Usa relèvent leurs tarifs douaniers à 30% de la valeur des marchandises M et 32% en 1922 avec les tarifs McCumber. Usa = pays dominant, donc \lpre61664; France en 1921 pérennise le mélinisme : 12 à 15%, Allemagne et Italie : 17 à 20%. GB pour la 1ère fois : 10 à 15% sur certains secteurs. \lpre61664; La baisse des prix des matières premières : véritable détérioration des termes de l’échange. Après une hausse pendant la guerre, retombée trop basse : (prix du blé et coton)/2. Paupérisation des agriculteurs américains concurrencés (Canada, Australie) et surproduction, ex du café brésilien qui servi de combustible, car surinvestissement dans le secteur agricole. \lpre61664; Des échanges mondiaux atones : volume des échanges : progression de 4% l’an avant la 1ère GM, 2% l’an après la guerre car pays refermés : Usa surtout et fermeture de l’URSS, le Japon se tourne vers ses colonies en Asie. 2.3 La fin des migrations de masse Encore des flux migratoires à cause de la situation européenne et révolution russe, mais refus des Usa : 1921 : cotas d’immigrés européens = 3% des immigrants de la même nationalité présents sur le territoire américain en 1910. 1924 : même loi mais cotas à 2% de la population de la même nationalité en 1810 \lpre61664; renforcement d’une immigration acceptée. Entre 1920 et 1930 : 4 millions d’immigrants entrent aux Usa. Amérique latine, Canada, Australie : 1m5 d’européens avant la guerre, 750 000 dans les années 20, moins de 100 000 en 1930. En F : immigrés polonais et italiens (2m7 en 1931). Chinois vont au Japon. III/ Le triomphe et le retour du protectionnisme dans les années 1930 Octobre 29 : Production mondiale chute de 40% et prix 30% Crise liée à la déflation (différent de 1873 : inflationniste) Diffusion rapide car mondialisation et libéralisme 3.1 La mondialisation de la crise \lpre61664; Une origine américaine ? Crise américaine qui s’étend au reste du monde. Jeudi noir : octobre 29 aux US. John Kenneth Galbraith : crise vient de l’optimisme spéculatif des américains. 1925 à 28 cours boursiers augmentent de façon anormale, autorités n’interviennent pas. 1929 rehausse des taux d’intérêts des autorités US \lpre61664; panique, effondrement boursier en octobre. 24 000 banques en faillite et bank run (course au guichet) : glaciation du système bancaire. Crise lié à HOOVER, président US, effet domino sur pays latino et Japon. US rapatrient K européens, Europe en crise = partis extrémistes font des meilleurs scores (Hitler). Production industrielle chute, chômage augmente, convertibilité or anglais abandonné. \lpre61664; Un enchainement de crises nationales ? Interdépendance des crises multinationales. Argumentation HOOVER sur la chronologie des évènements, récession déjà présente dans certains pays avant krach de 29, commerce mal en point depuis 1925, surproduction agricole. US subi la crise, effondrement européen a provoqué la grande dépression à cause du déséquilibre de l’entre-deux guerres. Débat entre Marxiste, Libéral, Keynésien : M : contradiction inhérente au capitalisme, crise structurelle liée au système K lui-même. K : Roosevelt 1932 New deal émergence de la pensée K, intervention de manière ponctuelle de l’état, crise due à la demande effective. L : crise vient de la responsabilité des Etats, ils auraient du totalement laissé le marché (pas de politique monétaire). 3.2 L’effondrement du commerce mondial \lpre61664; L’engrenage du protectionnisme. Marché mondial se rétracte chaque pays essaye de maintenir son marché intérieur. 1930 : tarif Hawley-Smoot (US) \lpre61664; tous les pays suivent et remontent leurs tarifs douaniers. 1932 Angleterre Import Duties Act, désir également de maintenir échanges avec empire (Commonwealth). 1931 France contingentement dans l’agriculture fixés par décrets, surtaxe compensatrice de change. \lpre61664; L’autarcie comme solution ? Pays les plus autarciques : Allemagne, Italie et Japon. J. BOUVIER « l’autarcie n’a pas été préparée dans le silence des cabinets des économistes, elle se présente comme une série de remède empirique appliquée à chaud pour rétablir l’équilibre de la balance du commerce extérieur » Pays dictatoriaux, facile de fermer. 1931 : Limiter autoritairement des I° par la République de Weimar \lpre61664; excédent mais chômage continue à augmenter, autarcie prépare l’All. à la guerre. 1925 : Italie tarifs forts les M de blé, la politique fasciste bloque les mouvements de capitaux. 1935 : ASDN mesures contre l’Italie car envahit l’Ethiopie, (pays s’en sort par les conquêtes comme All) Armée au pouvoir au Japon : politique de relance par l’industrie lourde (militaires), conquêtes territoriales (Chine, Corée, Birmanie,…), exploitation \lpre61664; ressentiment des populations asiatiques contre Jap. 3.3 L’éclatement monétaire \lpre61664; La livre perd de sa suprématie : la LS fragilisée, 1931 : les anglais sont obligés de suspendre la convertibilité or \lpre61664; tx de change flottant \lpre61664; LS dépréciée de 1/3. \lpre61664; La formation du Bloc-Or. En 1933, la GB organise une conférence de 66 pays pour s’accorder une trêve entre monnaies, mais les Usa refusent tout accord. La France forme alors le « bloc or » : F, Suisse, PB, Belgique, Pologne et Italie (momentanément) \lpre61664; union monétaire avec étalon or (stabilité). En 33 : stock d’or F > à celui des Usa, mais bloc d’or fissuré : pas d’institutionnalisation pour harmoniser les monnaies, les autres pays sont en déficit commercial donc pas de possibilité de dévaluer leur monnaie \lpre61664; seule solution restante : la déflation (prix du L baisse) \lpre61664; explosion du bloc dès 35 et finie en 36. 1937-38 : dévaluation du franc qui en entraine une autre dans un autre pays, etc… Cercle vicieux et bataille sur la dévaluation monétaire, chacun pour soi mais inefficace. Réaction de Roosevelt : zone $ avec pays latino-américains en 1934, Reciprocal Agreement Act. L’absence de volonté de pacification monétaire et commerciale va se traduire par une guerre militaire en 39. IV/ Le commerce mondial depuis 1945 : une nouvelle mondialisation 4.1 Les grands flux de marchandises et de services \lpre61664; Le nouvel aspect du commerce international. OMC 2011 : X Mondiales 11 511 milliards de dollars (53% manu, 19% services, 15% extractions, 8% agricoles). Amérique du nord et Europe : poids dans CI chute (resp. 8% et 10%) Asie monte. Croissance des échanges, première région commerciale Europe jusqu’à 2004 : Asie Est et Sud-Est. Eu : premier dans M mais pas dans X \lpre61664; déficit commercial, Asie excédentaire de 20%. Point fort de la France : spécialisation dans les nouveaux secteurs (agroalimentaire et aéronautique). 2013 OMC et OCDE ont comptabilisé les flux mondiaux des marchandises en VA plutôt qu’en valeur. Chine 1ère X, importe beaucoup de produits qu’elle exporte ensuite. Spécialisations pour certains pays : All champions X automobiles : stratégies des firmes All : M des moteurs de Pologne, roues de France, etc. En Chine 40% de la valeur totale des X des produits informatiques proviennent d’M. Pascal Lami « les pays qui X le + et le mieux sont ceux qui M le + et le mieux ». Donc ne pas raisonné uniquement en jeu à somme nulle. Débat sur les déséquilibres commerciaux : alarmisme de la désindustrialisation de la France, pour économistes : rôle marginale sur l’emploi. CARDEBAT : décalage : provient de la délimitation du phénomène : lie le transfert de l’économie nationale vers l’étranger (logique d’IDE), délocalisation = IDE mais IDE <> délocalisation, plupart IDE (sans transfert de facteurs). DRDE seulement 4% IDE français à l’étranger susceptibles d’affecter l’emploi. On pense donc majoritairement à tort que la délocalisation est une cause du chômage. Délocalisation peut sauver emploi : car garde bureaux d’études, emploi nouveau : sourcing , approvisionnement, organisation des transferts, donc macro économiquement marginal mais localement désastreux. Pb de désindustrialisation bien plus complexe que la délocalisation. Croyance : désindustrialisation \lpre61664; montée de l’emploi tertiaire or seulement montée tertiaire et non emploi, effet néfaste : pas capable d’absorber les emplois perdus de l’industrie. Effet de la mondialisation : emploi nomade (bien rémunéré des firmes multinationales)/emploi sédentaire (service sous qualifié) Mondialisation=inégalités ? Inégalité = PN GIRAUD : Rapport entre revenus par tête moyen des nomades sur celui des sédentaires. + Nomades + pays riches, détiennent le pouvoir d’achat. Langue nuit à la convergence de l’Europe. Théorie du ruissellement : augmentation des revenus les plus riches qui contribue à l’amélioration du niveau de vie des plus pauvres. Accroissement inégalité due à une globalisation financière préjudiciable au développement de la démocratie. Redistribution du revenu avantageux pour le travailleur par une diminution du revenu du capital. Tout de même 500M de pauvres sortis de la pauvreté. \lpre61664; Le monde est devenu plus petit : la révolution dans les transports. Développés grâce au PT (pétrole, électricité,..) + Progrès dans l’information Conteneur standardisé = gain de temps considérable Transport maritime : plus rapide par quantité et beaucoup moins cher Sa répartition reflète les inégalités entre les pays, tonnage bien plus élevé dans PED que Pays riches Shanghai et Singapour : 2 plus grands ports mondiaux Produits transportés : produits en vrac, pondéreux, hydrocarbures (1/3 tonnage mondial), charbon et céréales (5%) => 2 premiers énergie ou matière transformable. Europe ½ de la flotte jusqu’en 45, auj 20% car montée en puissance des pays asiatiques et flotte ex-URSS. Pavillons de complaisances (60% de la flotte mondiale). Petits pays à flotte colossale Libéria, Panama, Bahamas. Avant flux migratoires en bateau, aujourd’hui transport de courte distance ou paquebots de croisières. 1958 : transport aérien devant maritime pour passagers Port : Critère géographique, d’activité, port de fond d’estuaire (peu profond), monofonctionnel ZAS : zone franche (+1000 en Asie). Transport terrestre (ferroviaire et camion, 2/3 des échanges en France) Transport aérien : passagers et non marchandises : fret Transport des données : réseaux mondiaux numérique NTIC. 4.2 Quelques grands marchés Marchés de matières premières internationaux, plupart cartellisés en oligopoles mondiaux \lpre61664; Le marché du pétrole : remplacé le charbon, 47% 1973 d’énergie consommée, aujourd’hui 35% Transports par oléoducs ou tankers Créer des produits semi-finis : textile, plastique, carburant, centrale Technologie permet seulement d’exploiter ¼ d’un puits, 1/10 est réellement exploitable Propriétaires : pour anglo-saxons droit du sol, pour européen état. Eaux internationales : pétrole appartient à celui qui le trouve 4 types d’Etat : -producteur important/conso peu : Moyen Orient, Afrique, Latine (sauf Brésil) -p et c important : ex-URSS (syndrome hollandais : réaliser tous les invsts dans un ce secteur), Norvège, Royaume-Uni, US -très peu p et gros consommateur : pays européens, Chine, Extrême-Orient -très peu p et très peu c 2 flux : raffiné et brut Flux par Suez ou Panama mais tous les tankers ne peuvent passer par Suez, bientôt par Pôle Nord Problème géopolitique : installation d’oléoducs et gazoducs. Marché pétrolier : entre-deux guerres, plus grandes compagnies mondiales dès la fin du XIX : Standard Oil Company, Golf Oil Company, Rockfeller et Mellon Lois anti-trust les a fait éclatées, donc au sortir de la guerre : 5 américaines SO (Exxon) of new Jersey, SO CAL,… 1 anglaise et 1 hollandaise = 7 sœurs cartel du pétrole 87% de la production mondiale en 1953 Velléités d’indépendance : main mise des firmes occidentales finie 1960 OPEP : objectif enrayer la chute de prix et exclure les grandes compagnies d’extraction Augmentation des prix de façon soudaine provoque les <> krachs \lpre61664; Le marché charbonnier : Charbon : A coque ou A vapeur, +25% du bilan énergétique mondial Contrairement au pétrole, la plupart des gros producteurs sont de gros consommateurs Australie leader mondial en tant qu’exportateur, marché plus stable que pétrole car plus concurrentiel \lpre61664; Le marché des produits agricoles Produits agricoles : 1950 1/3 du CI, auj bcp moins. Part d’alimentation humaine faible. 4 types d’agents : - producteurs : local, tendance à la coopérative, pas de réel poids - Etat : protectionnisme (tarifs douaniers et agriculteur) - Firmes de négoce : achat et revente de produit agricole - Bourses du commerce : Chicago, NY… Conclusion : 3 types idéaux de mondialisation : configuration internationale, multinationale et globale. Liés aux biens et services, fondé sur HOS et Ricardo, Spécialisation mais nécessité de l’internationalisation des échanges. Chap 02 : Analyse economique et théoriques des echanges internationaux Intro : \lpre8594; Actualité rend CI responsable de bcp de maux : Chine origine chômage or X chinoise = 11% X mondiales en 2012 + libre achat de bien chinois. \lpre8594; Robert RAICH, eco^ist US, super capitaliste : schizophrénie conso^tr US qui veut prix bas avec haute rentabilité du K. \lpre8594; Plupart eco^ist : CI jeu somme positive. CI moteur G mondiale. %G CI>% G nationale. X element moteur de la G (comparaison Corée du Nord fermée et Sud ouverte). I - Du Mercantilisme à sa remise en cause par Adam SMITH. \lpre8594; XV siecle : Idée CI jeu somme positive dût à une meilleure alloca° des ressources, mesuré par satisfaction conso^tr, fondée sur l'ouverture internationale (Courbe utiliT supérieur grace à la pression concurencielle). \lpre8594; Mercantiliste : CI = jeu à somme nulle. Antoine de MontChretien :"gains des uns = pertes des autres" d'où somme nulle. Pour eux, CI négatif si conduit à déficit balance commerciale. \lpre8594; 3 courants mercantilistes : •Espagnol (Billionisme) : accroite stock d'or en cherchant chez les etrangers. Jean BODIN, francais, montre espagnols se trompent : ils sont incapable de produire B&S, donc Ils les X et prix élevés. •Anglais : L'or doit venir d'une balance commerciale excedentaire. M - chers possible matière premiere pour X plus cher des produits manufacturés. •Français : comme anglais avec intervention de l'Etat qui assure excedent du commerce exterieur. \lpre8594;Alliance rois-marchands : les premiers protegent les seconds qui s'enrichissent et leurs fonds payer des taxes douanières pour alimenter leurs caisses. \lpre8594;Critique sur les failles mercantilistes au debut XVIII. Richard CANTILLON auteur irlandais, contre idée que commerce extérieur puisse être facteur de richesse (doc reequilibrage automatique de la balance commercial CANTILLON-HUME) : -Excedent commerce extérieur \lpre8594;hausse des prix interieurs---> hausse M, baisse X---> resorbption de l'excedent. Excedent balance commercial s'amenuise au fil du temps. \lpre8594; Adam SMITH coup de grace aux theories mercantilistes : •Tissu protectionniste, mise en place barrière douaniere pour s'enrichir. Forme de detournement de bien général pour quelques un. • Production origine de richesse et non l'or("espece sonnante et tribuchante") •Erreur mercantiliste : assimile pays à un individu, confusion entre monnaie et capital (monnaise thésaurisé =/ capital) •Excedent balance commerciale et excedent du revenu. •Smith montre qu'il faut s'ouvrir pour ecouler les excedent, obtenir biens qui satisfontdes besoins et elargient les débouchés pour chaque type de P. Pousse plus loin division du L et volonT de surplus : donc CI augmente la p. \lpre8594;Smith fait une grosse erreure : Il parle d'avantage absolu pour echanger (là où P moins chers qu'ailleurs) mais impasse : si pays bon dans tout il fabrique alors pour tout le monde. Donc analyse interessante pck rupture avec mercantiliste, mais limite car une erreure. Auteurs : BODIN precurseur de l'analyse quantitative de la monnaie. (Equation quantitive de la monnaie Sam Fisher : MV=PT : masse monétaire x circulation de la monnaie = prix x transaction. Si V et T sont stables, toutes augmentation de la masse monétaire se traduit par une augmentation des prix: théorie quantitative de la monnaie Milton FRIEDMAN). Richard CANTILLON, essais sur la nature du commerce en général, Adam SMITH, Recherches sur la nature et les causes de la richesses des nations. II - La theorie Ricardienne de l'avantage comparatif et son prolongement. A - Modèle de base. Michel RAINELLI : analyse erreures SMITH et Ricardo : prise en compte de la nation comme critère de base de l'echange international. Or ajd in s'interesse a des agents : conso^tr P^tr. Ils ont une place dans le processus producteur. \lpre8594;Chez RICARDO, nation : espace duquel les capitaux peuvent se déplacer sans entraves. Si l'on raisonne a partir de la nation, les k ne peuvent se mouvoir. Ricardo : FdP immobiles. Paul Fabra, capitalisme dans capital souligne echange gagnant si FdP immobiles au niveau internationale. Ricardo fait confiance à attachemant des Ent^r anglais pour ne pas délocaliser. \lpre8594;Chapitre 7 Les principes de l'économie politique et de l'impôt : s'interesse à echange et theorie des avantages comparatifs. Il démontre que sa loi marche avec tt les echanges. SAMUELSON, economie, exemple de l'avocat meilleur plaidoyeur que dactylographe donc il confit ce travail a sa secretaire. Ricardo part des coûts relatifs internes dans deux pays. Tjrs possibilité d'echanger pour Ricardo. Chaque pays doit se spécialiser totalement et utiliser la totalité de son facteur L à la P du bien pr leque il est le meilleur. B - Modéle HOS. \lpre8594;Theorie de la valeur classique obsolète, Neoclassique s'impose avec loi utilité marginale. Avec cette loi, on parle maintenant du théoreme HOS (Hcksher, Ohlin, Samuelson). Chez HOS, ce sont les dotations relative en FdP qui sont diffèrentes et non les techniques (Ricardo). Hecksher (1919) et Ohlin (1933) renouvelle la théorie à partir d'obsverva° empirique, Samuelson reprend tout ca en 1950, les modélises et crée HOS. LINDERT, L'économie internationale, formule HOS : pays X produits qu'ils utilisent de façon intensives, les FdP qu'ils ont en abbondance et M produits utilisé de façon intensives, les FdP rares chez eux. + le facteur est abbondant, - il est cher. Plus les qtés d'un facteurs sont élevés, plus la qté supplementaire sera bon marché (marginalité neoclassique). On echange facteurs rares vs facteurs abbondant (et non produits). Lechange peut se developper jusqu'a ce que chaque unité de facteur recu par l'X aura le même prix et la même utilité recu par l'unité de facteur recu par l'M. (MobiliT des biens se substistue à mobiliT des FdP car immobilité des FdP). Il y aura equilibre s'il n'abbandonne pas leurs P (permettant redistribution) Stolper-Samuelson vers 1940 : si on se spécialise dans un bien intensif dans un facteur, les prix augmentent, proportionellement, les prix diminuent dans l'autres, on pourra l'exporter. Vrai que si capitaux immobiles. ==> Modèle HOS facteur d'appauvrissement : revenu du facteurs rare s'accroit et celui de l'abbodant recule, production d'un bien cher donc appauvrit la main d'oeuvre qui le crée. \lpre8594;HOS domine théorie echange pdt 1/2 siecle. En 1953, Vacilly LEONTIEFF a montré que X des USA - intensives en k que ses M. Or USA était l'eco^i la plus dôtée en k. Ils auraient du X en k : c'est le PARADOXE DE LEONTIEFF. Il faut raisonner en fonction des competences et qualifica° du facteur L et non sur le facteur lui même. Nations echangent qlté en main d'oeuvre qu'ils disposent en abbondance. Avantage comparatif US : USA X des biens incorporant L très qualifié et M biens incorpant L peu qualifié. Paradoxe Leontieff ameliore HOS et Avantage comparatif. \lpre8594;Hary BOWER, Edwar LEAMER et Leo SVEIKAUSKAS, etude empire : CI un echange implicit de service de FdP. HOS explique que 2/3 des cas donc imparfait. •2011 : valeur en $ du commerce mondial de marchandise était de 18.200 Milliard de $, +20% en bien manufacturé. Biens X par la triade bcp plus intensif en L qualifié que X chinoise. HOS explique pourquoi flux croisé entre biens manufacturé entre Chine et Triade. •Innovation facteur de l'echange : Rompt avec la logique HOS : HOS permet comprendre une situation donné, pas une évolution de situation. PD main d'oeuvre qualifié pour faire de la R&D. Si succes : innovation et monopole temporaire, firmes autres pays incités a maintenir leurs positoin RICARDO, Les principes de l'économie politique et de l'impôt, (1817) SAMUELSON, economie, (1948) LINDERT, L'économie internationale, P.AGGLION, Reformer l'Etat III - Existe t il une théorie Marxiste du CI. A - C.I chez les marxistes orthodoxes. C.I trouve sa source dans avantages comparatifs mais il pense Coût non immuable. \lpre8594;C.I accroit les inégalités entre nations : Pays industriels cherchent à dominer le monde : "C'est ainsi que l'Inde a été contraint de produire du coton... pour la G.B" : Capital. Division du L entrainé par CI conduit à un asservissement d'une partie du monde. Lenine 1916 : Imperialisme : stade suprême du capitalisme car baisse tandancielle du taux de profit. \lpre8594;Misère de la philosophie : Pour Marx, libre echange = liberté du K et qu'a le K pour ecranser le Leur. Libre echange choisi pour exploiter le prolétariat, fait naitre un phénomene destructeur au seins des pays et entre les pays. \lpre8594;Marx protectionniste ? : Non car protectionnisme = défense de l'industrie (F.LIST). Il dit au contaire qu'il faut favoriser le libre echange pour HATER la révolution mondiale. Capital (argent) --- > realise des avances ---> permet avoir capital constant/variable --->production ---> restitue le L et d'avoir du temps de L fourni qui donne plus value (sens marxsiste) ---> plus value réaliser ---> Capital(argent) : AMA'. \lpre8594;Contradiction du capitaliste : •Recherche du profit : + de P en s'opposant à élevation des salaires : tendances aux crises periodiques de sous consommation. •Baisse tendancielle du temps de profit : % profit = (PV/V)(1+C/V). Si CV s'accroit, alors 1+CV s'accroit aussi, et le résultat baisse. (si c>b alors a/c < a/b.) •Rosa LUXEMBOURG : PB se situe au niveau des débouchés : Salaire = coût qui vient limiT profit. E/ veulent limiter ce coût pr maximiser profit : insuffisance salaire versé ---> insuffisante des ventes ---> non incita° à Investir ---> baisse de la P à terme ---> crise du systeme. E/ cherche débouché hors de son territoire necessaire pr maintenir profit. A terme, tout les Consotr participent donc systeme voué à disparaitre donc capitalisme est foutu à terme. B - Analyse plus hetorodoxe. \lpre8594;Arrighi MANUEL, Echange inégal (1969) : Kist cherche à l'exterieur les condi° d'accroissement du profit. Les E/ les + Kistiq sont situées dans les pays les plus Dvp, les - dans les pays du 3M : Inégalité 1ere au niveau de l'echange international : ceux qui utilisent + de K produisent biens à forte V.A et L produisent biens manufacturé a faible V.A. Cette inégalité explique que les combinaisons productives sont diffèrentes d'un pays à un autre. Or dans ces PD mains d'oeuvre mieux formées donc mieux rémunerées (pr utiliser ces K) : Inégalité salariale : PD salaire elevé, 3M salaire bas : "Il devient claire que l'inegalité des salaires en tant que telle est toute chose égale, provoque à elle seule l'inégalité des echanges". La salarisation et les gains salariaux obtenues par le prolétariat dans les PD contribuent à l'asservissement et la paupérisation du prolétariat dans pays du 3M. Rupture avec : "Prolétaire de tout les pays, unissez vous !" Prolétaires PD vivent sur le dos des prolétaires du 3M: Essais sur les antagonismes dans les rapports économiques internationaux. Auteurs : Karl MARX, Capital, (1867) Lenine, impérialisme : stade suprème du capitalisme, (1916) Karl MARX, misère de la philosophie, Arrighi MANUEL, Echange inégal (1969) Arrighi MANUEL, essais sur les antagonismes dans les rapports économiques internationaux. IV - Les nouvelles analyses du CI. HOS supplementé par nouvelles théorie du CI dont Paul KRUGMAN, prix nobel Eco, et HELPMAN. Ils mettent en avant 3 critiques : A - Les phénomènes empiriques à expliquer. \lpre8594;Flux d'echange intrabranche (ex : echange voiture - voiture ). Sous entend pays plus spécialisé en fonction de la dota° factorielle. 1980 : commerce intrabranche = 50% des echanges entre PD. \lpre8594;Mise en place d'une DIPP qui provoque flux echanges internalisé par FMN : critique modele libérale sur origines CI. B - Constitution d'une nouvelle theorie. \lpre8594;HELPMAN et KRUGMAN cherche dans le paradigme de la concurrence imparfaite les explication sur la diffèrentiation des produits à la base de la concurence imparfaite. 1979 (Article Krugman et role de la diffèrenciation dans le CI), C - Echange internationaux et rendement croissant. \lpre8594;Alfred Marshall et economie d'echelle : •Interne : augmenta° taille des E/ provoque baisse des coûts unitaires de P. •Externe : provient de la taille du secteur ou du pays, toutes les entreprises d'une même branche en beneficient en gardant la même taille. •Krugman et la geographie economique : chaque pays peut avoir avantage à se spécialiser meme si pas avantage comparatif grace aux economies d'echelles. Role de l'Etat ou réunion de firmes en amont : pays peut se spécialiser et attirer firmes etrangères. =>AVANTAGE COMPARATIF CONSEQUENCE DE LA CI, NON A L ORIGINE. Selon Michel RAINELLI, plusieurs conséquences a cette théorie : •Pays trop petit ne pourra jamais se spécialiser car taille interieur du marché explique CI. •Pays qui acquis savoir faire et avance le garde donc garde ses ecoi d'echelles : Les 1er restent 1er. Constitution de barrière à l'entrée •Pays a bas salaire ne peuvent entrer dans le marché quand il y a besoin de qualité et non de quantité. •Economie d'echelle peuvent avoir effet neg sur un pays mais positif sur reste du monde. D – Echange internationaux et diffèrenciation des produits . \lpre8594;1933 CHAMBERLAIN et analyse microeco de la concurrence monopolistique : produit distinct et substituable(pas totalement) car consoteur ont des preferences mais pas insensible au coût or la qualité se paye. *A court et long terme, les equilibres sont diffèrents -Cours termes : profitable ou non profitable. -Long termes : Si firmes non profitables, elles disparaissent sinon le secteur ne sera jamais equilibré. Si firmes profitables, celà attire concurrence qui veut profiter aussi. Si quantité vendu=coût total moyen, E/ ne fait ni perte ni gain et entreprises restent stable sur le marché. {Efficace ? :Si on vend un unité de produit de plus, (q +1), le prix du même produit baisse + si trop de variéT de produit offertes, baisse parts de marché et augmentation des prix. \lpre8594;Consoteur aime se diffèrencier (DUSUENBERRY) et paye diversité du produit d'où certains produit artificiellement diffèrenciés (pubs, nom de marques...) \lpre8594;Pub fourni info et oriente consoteur : améliore fonctionnement marché. \lpre8594;Comparativement à CPP : Dépense pour pub et images de marques sont des gaspillages necessaires en concurrence imparfaite. \lpre8594;KRUGMAN : Chaque firme monopoleur par rapport à son produit. En concurrence monopolistique, le nb de firmes determinent le coût donc le prix. (Nb elevé = grance concurrence = prix bas). Dans marché mondiale, bcp de firmes. \lpre8594;KRUGMAN et OBSTFELD, L'économie internationale : CI est un bien fait pour Consoteur : rôle croissant de l'innovation, economie echelles... On comprend alors pq des ecoi echangent des biens diffèrents ce qui améliore bien etre du consoteur. \lpre8594;Chez RICARDO, spécialisation entrainait le commerce, nouvelle théorie du CI c'est le commerce qui entraine la specialisation. V - debat du libre echange et protectionnisme. Certains critiquent CI. Certains pays ont ils pu se dvp grace au protectionnisme ? A . La these de List et la protection de l'industrie naissante. \lpre8594;GERSCHENKRON va critiquer ROSTOW : rôle Etat important dans late commerce, favorise G et Dvent en fermant les frontières. \lpre8594;Alexander HAMILTON, rapports sur les manufactures, préconise aidé industrie américaine(subvention) grace au taxes sur les M. Garantir par une banque centrale les emprunts que réaliserai les firmes. (echoue jusque FED en 1931). Ajd, USA tjrs protectionniste. \lpre8594;Friedrich LIST, Protectionnisme educateur , Systeme national d'économie politique (1840). Pour List, la nation veut dvp ses capacités productives. Pas possible pour tout les Etats : *Etapes du protectionnisme educateur : - Nation agricoles, elles produisent agricoles mais M industrielles. - L'industrie se dvp au niveua local de manière insuffisante. (Les M des produits industrielles restent indispensables) - Nations deviennent autosuffisantes. - Nations deviennent exportatrices. =>Protectionnisme utile qu'a la 3e etape : acquisi° d'un certains savoir faire, mais pas de poids sur le commerce exterieur. Il faut avoir ecoi d'echelles pour s'ouvrir et ewporter. List = protectionniste temporaire. B - Le renouveau des analyses protectionnistes. \lpre8594;Crise années 73 et pays asiatiques provoquent regain du protectionnisme. \lpre8594;Jeanneney, Chômage en Europe et commerce mondial (1987), préconise droits de douanes pour Asie pour se proteger l'emploi. Pour lui, ouverture de l'europe = desindustriallisation. \lpre8594;Emmanuel TODD, illusion economique (1999), reclame limitation du libre echange incapable de proteger emploi europeen. L.E rompt l'equilibre entre conso° et P. Les E/ pensent que salariés sont des coûts, les coûts se réduisent (mais ils oublient que salariés = consoteur). Pour lui, "le futur sera protectionniste ou chaos." \lpre8594;J.J LAFFONT et J.TIROLE, libéraux, Revue economique Europeenne (1994) Protectionnisme compense imperfections du marché interieur. Intervention des pouvoirs publics pour améliorer concurrence au niveau nationale. \lpre8594;IRWIN, againt tid intellectual history of free trade(1966) : avances plusieurs argument : •Tarif Optimal : Protectionnisme peut être justifié pour rétablir les termes de l'echanges plus favorable à la P nationale. •Proteger l'industrie naissante (enfance). •Contrecarrer la divergence de salaire entre secteurs. Proteger certaines industries pour que les salaire ne baissent pas trop par rapport à d'autre secteurs ouverts. •Proteger pour limiter les effets non désirable sur la redistribution du revenu et retablir le plein emploi. •Pour assurer d'une certaines manières une rente de monopole des E/ national. C - Le débat sur les politiques commerciales stratégiques. Interressons nous aux oligopoles : (VOIR EXEMPLE ADN ET AJINOMOTO SUR LE CARTEL DE LA LYSINE) \lpre8594;On s'interesse au Duopole et la collusion(accords) : \lpre8594;Cournot : Ententes sur les quantités Bertrand : sur les prix. •Cartel : accord entre plusieurs Pteur qui permet d'augmenter le niveau des profits en definissant le niveau de la P. •Comportement non coopératif (ignore les effets de l'action des E/ sur les profits mutuelles) : Chacun est incité à tricher car impression de gagner + en le faisant, mais si chacun trichent, ils y perdent tout les deux. + d'E/ = + risque de triche. •Exoneration des sanctions pour celui qui dénonce. Condamnation des Cartels : USA : Federal Trade Comission, Europe : Conseil de la Concurrence. •Impossible retour en arrière a cause des coûts fixes. \lpre8594;John NASH : dilemme du prisonnier : on appelle Equilibre de NASH ou equilibre non coopératif le résultat obtenu quand chasue joueur prend la décision qui maximise ses paiements, tout en ingorant les effets de cette decision sur les gains recus par les autres. (Ex : Guerre Froide : continuer de produire arme malgré accord SALT). \lpre8594;On ne joue qu'une fois : situation du dilemme se transforme car on a de la mémoire. Il n'y a pas de communica° entre les E/ car cartels illégal (Antristrust Act, Clayton Act). Si il y a des modifications de comportement, risque que l'entente tacite s'effondre. (VOIR COURBE DEMANDE COUDEE). \lpre8594;Theorie des positoin Az.SMITH, investissements stratégiques, entreprise internationale et commerce internationale (1994) Thomas SCHELLING, La stratégie de profit (1960), Conclusion : Mercantilisme doit il être banni ? Depuis 2008, remise en question : Dani RODRIK , le retour du mercantilisme ? (2013) : Mercantilisme proche et defenseur du Capitalisme. \lpre8594;Thomas MUN, deux manière de dvp systeme capitaliste : •Libéral avec Etat fonction regalienne et droit de propriété. •Alliance entre prince/machand --> privée/publique. \lpre8594;Asie, Chine semble mercantiliste : il y a emploi, des X, mais hausse des prix, Etat gère grande E/, pas de circulation des capitaux, % intèrêt fixé, Etat favorise X. -Mercantilisme et bien être *Fabrice DEFEVER, Alexandro RIANO en 2012, montrent que 33% des E/ chinoises X + de 9% de leurs P (seulement 1.9% en France) aidé par l'Etat : effets negatifs sur la p et la concurrences : l'exces de X coûtent 3 % du revenu réel Chinois pour améliorer 1% dans le monde. (Ca leurs coûtent plus chers que ca ne leurs rapportent) Mais peut être que ce coût est le prix a payer pour construire une ecoi moderne et prospèr : pays peuvent abbandoner libéralisme pour revenir au mercantiliste. http://nsa34.casimages.com/img/2015/03/01/1503010224391093.jpg