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FELLONIR - [legend]

aniya 1234 Il fut un temps ou les hommes s’entre déchiraient pour un bout de royaume. Un temps ou la guerre était quotidienne et où les cris résonnaient a travers la plaine. Le temps où Narthe se délectait de la folie des hommes. Ce temps est notre temps et c’est dans cette ère que naisse des hommes de la classe des héros… Et je ne suis pas un de ces hommes. Je me nomme Fellonir serviteur du peuple et non du roi, la guerre et moi c’est fini j’ai donné à une époque et cela me suffit.
Aujourd’hui et bien je m’entraîne la plus part du temps à Argelas car je sais que c’est nécessaire à ma survie. Dans le monde qui est notre si tu ne sais pas te défendre tu as de grande chance d’y passer. Les troupes prêchant Donblas sont trop occupés par les Démons que par de simple brigand et ne voit plus dans les batailles qu’un moyen de gloire et de satisfaction meurtrière. Heureusement pour nous qu’ils en existent encore d’assez fou pour croire que tout le monde peut être sauvé. Enfin soit… J’ai l’impression que quand j’écris ce mémoire que je radote comme un vieux gateux. Pourtant je ne pense pas l’être a vrai dire 30ans ; c’est la belle vie ! ^^ Les femmes sont mûres réfléchies, les jeunes filles sont belles et fraîches pleine de vie cherchant du réconfort chez les hommes et ma foie, lorsque je tend mon bras rare sont celles qui me refusent. Si jamais l’une d’elle lirait ce versés de mon récit, elle serait sûrement indignée de mes propos. Pourtant je ne suis ni charmeur, ni dragueur, ni même un coureur de jupons d’ailleurs je ne crois pas avoir jamais fait pleurer une femme. A me lire, on dirait de la vantardise, c’est bizarre je pensais ne pas l’être, tampis. Ce que je pense, ne regarde pas vraiment les gens, je n’aime pas être sondé. Je pense que c’est un trait de caractère assez commun, on ne présente de soit souvent que le bon côté. Enfin bref tout ça pour dire que je suis un éternel acteur. En effet, j’ai souvent séduit les gens juste pour leur soutirer leur bourse durant une nuit de belle lune, mais bon ils étaient riches et gras et ma foie je ne regrette en rien tout ces petits larcins, ils m’ont trop souvent la vie pour le nier. Cependant je ne vole plus même si l’envie parfois m’en manque, cette excitation qui vous saisit lorsque vous vous y attendez le moins. Un bourgeois avec qui vous discuté et qui d’où d’un coup regarde vers une direction qui n’est votre pour observer (une dame la plus part du temps…) un oiseau ou encore un poisson sauter hors de l’eau, et la sa bourse qui vous tend les bras et qui de sa petite voie murmure « emmène moi avec toi ! ». Enfin soit, tout ça étant fini, du moins tant que ma parole ne me fait pas défaut ce qui n’est pas prêt d’arriver. Cela peut en surprendre plus d’un(e) je ne suis pas forcément homme de promesses, mais un homme de parole. J’ai toujours adoré la nuance des mots. Le chapitre de mon enfance et bien, c’est étrange de se plonger dans des souvenirs que l’on a toujours voulu oublier. Par quoi commencer ? Je suis née pas loin de Sarosa d’après ce que l’on m’a dit mes parents avait entreprit un voyage malgré la grossesse de ma mère, on n’a jamais voulu me dire qu’elle était la raison de ce départ. Je suis donc sortit du ventre de ma mère sur un coussin de feuille ou de mousse embrassant dès cet instant Danava pour la première fois (mon premier baiser) a ce qu’il parait je suis né sans un bruit sur la mousse d’un vieux chêne (même si j’en doute fort j’aime à le croire) mais que dès qu’on a essayer de me retirer de mon lit végétal j’ai commencé à crier et à brailler à un plein poumons. Sans doute que Dranigba y était pour quelque chose. Ah les dieux ! Je ne sais encore aujourd’hui si je dois les craindre, en rire, en pleurer, ou même les prier ou encore y croire. Si j’avais un dieux à prier je choisirais ce dernier Dranba ou encore Brastos cela doit être mes préférés. Et si je revenais à mon enfance je m’égare dans ce que je raconte cela m’arrive assez souvent aussi je parle trop pour ne rien dire et pour finalement ne rien à boutir, mais le pire c’est que j’y prend goût en vieillissant car avant cela avait bien un but endormir mon interlocuteur afin de lui soutirer trois sous… Bref mon enfance ! c’est passer dans un premier temps à Trigorn mes parents avaient un commerce qui marchait plutôt bien mais qui les fatiguait énormément. Quand à moi je jouais dans les rues avec les autres gamins de mon âge, nous étions de preux chevalier ou encore des chefs de guerre renommés soutenue par la déesse de la guerre Narthe. Il est bien loin ce temps où l’insouciance prônait et ou chaque jour je pouvais rentrer chez moi avec des gens qui m’attendaient et qui m’aimaient. En effet cette joie n’a pas duré, je suis une des nombreuses personnes qui en ce monde ont perdu leurs parents bien trop tôt à mon sens. Ils avaient une livraison sur l’île des cinq sages, ils devaient rentrer le lendemain c’était la première fois qu’ils me laissaient seul. Seulement durant cette nuit Dranig commençait à souffler, une tempête se préparait mes parents étaient partis depuis deux heures seulement et je craignait qu’ils leur arrivent malheur… Le lendemain, ils ne sont pas réapparus. Quelques temps après j’ai prit contact avec une tante assez antipathique je dois dire qui m’a fait mettre dans l’armée dès que j’étais en age d’y être. J’ai alors été un ‘garant de la loi et du royaume’, à réclamer les taxes ou encore fouetter un paysan car il se trouvait sur le chemin de mon supérieur trop faignant pour le faire lui même. J’en ai été écoeuré, le roi avait aussi besoin de moi lorsqu’il s’agissait d’une chasse à la sorcière ou aux démons. J’en ai fait dix ans de la chasse aux Démons… Bien trop fatiguant pour moi, j’aurais mieux fait de courir les jolies filles à cette époque. Me voila donc âgé de 25 ans lorsque je quitte l’armée, que faire maintenant ? Et bien je suis retourner sur mon lieu de naissance qu’espérai je trouver en retournant là bas à part des brigands, je n’en ai pas la moindre idée. Mais là bas j’ai trouvé… Non pas le bâton de la sagesse, ni une plume de paresse, ni encore une flûte … mieux que tout ça ! J’y ai trouvé une famille. Bien sûre avant ça ils ont piqué ma bourse et mes vêtements me prenant pour un seigneur ; moi qui avait dépenser une fortune dans ceux-ci. Cependant il ne s’attendait pas qu’un ‘seigneur’ en culotte courte irait chercher leur campement plutôt que rallier la ville la plus proche en quête de domestique pour les rhabiller. Durant la nuit j’ai reprit mon or, mes habits et en prime voler la femme du chef. Comment ai-je fait me direz vous ? Et bien un bon coup dans la nuque avant que quelqu’un se couche j’ai rarement vu quelqu’un y résister… Oui bon, frapper une femme n’est pas dans mes habitudes mais elle était de forte carrure et dans l’ombre je l’ai prise pour son mari, est ce ma faute ? Le lendemain après que ces bandits m’aient cherché toute la nuit s’en savoir qui j’étais je suis arrivé comme une fleur dans leur campement. Tout sourire je leur teint à peux près ces mots : « -Avez-vous perdu quelque chose messire ? Je vous ai entendu gambader toute la nuit. -TOI ! -Moi ? -Que fais tu ici ? N’as-tu pas retrouvé ton château ? -Et bien, non puisque je suis ici. -Ne joue pas au plus malin avec moi. Est-ce toi qui a ma femme ? -En effet messire. -Ou est elle ? Je suppose que tu l’as cachée puisqu’elle n’est point avec toi. Tu as sûrement quelqu’un qui la garde… Que veux tu ? -Vous êtes bien direct messire, vous l’aimez donc tant que ça ? -Tu n’as pas répondu à ma question… -Et bien, une bonne boisson pourpre ainsi que un bon ragoût de lapin, je pense me ferait le plus grand bien. -Est-ce la tout ce que tu souhaites ? -Oui messire, rien de plus » répondis-je satisfait de ma prestation. A peine fus je servit que le bandit en question me sauta à la gorge, pour me soutirer l’information, dans un mouvement de hanche je le fit basculer par-dessus mon épaule et le mit à terre : décidément un chef sans ses acolytes reste un homme. Il était si pressé de retrouver sa donzelle que j’ai mangé en chemin en lui expliquant que je me plairait bien ici avec eux dans les bois. Il ne m’a pas écouté mais un fois sa femme retrouver, il m’accepta volontiers dans son campement pour me mettre à l’essai… Il ne fut pas déçu. Je les quitter cependant, je leur rend encore visite mais cela ne me plait pu même si en été la mousse d’un chêne est moelleuse et fraîche, elle disparaît durant l’hivers laissant la pierre froide à nue. Me voila à Argelas, ville de jeux,de combat de rencontre aussi les arènes agissant comme un aimant sur les hommes. J’ai reprit l’entraînement peut être serra t’il nécessaire puisqu’il la toujours été.